Marie land
Dans cet air de rien sans t , sans rire
je t'ai remarqué parmi les co-humains Dans ma maison engloutie sous l'eau , observant la grande circulation des poissons Au-dessus de moi le tarmac noir corbeau solitaire Comme l'oiseau posé sur l'épaule d'un marin Je débitais mes voix bulles comme des encoches dans l'eau Compter les jours Je jouais à cache cache avec les rimes ,rime à quoi? Peut-être le bien être qui recherchait son malavoir Possède/idon ?? Les barreaux de mon escalier telle une lyre J'attendrais ce jour d'une ligne de crêtes Mettre mon moi dans la plume qui le libère le trait Exulter son chant de joie comme le coq en haut d'une crête de montagne Quitter mon corps monastère où chaque cellule représentait celle d'un moine qui prie Toi entre le massif de tes seins et la toundra Cultiver ton nombril sur la grande terre de ton ventre Ne plus taper du point sur le texte de ma table qui revenait sans cesse Verser des larmes thérapeutiques d'une délivrance |
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