même confiné
nous sommes trop près pour nous dire non
l'un seul ,l'autre le trou d'un manque
Dans nos villes encaissées
étiquette prête à partir
là bas deux yeux comme des roues de vélo
se retrouver
sans monticules de maisons
se faire nature
et s'aimer comme le vent la rivière les arbres les fleurs...
éveille moi
réveille moi
ne me laisse plus dormir
ne me laisse plus t'y penser
ne soyons plus sur un au delà mais un monde paral'aile
comme un ange même si ce sont que les enfants qui parlent aux petits fantômes, parlent aux elfes , aux anges
soyons en mode majeur
mes yeux sont ouverts
au détour
j'ai pris l' autre chemin
pour ne plus t'avoir au bout du fil
mais me glisser dessus
d'un trait de crayon
et te dessiner à la fin
ne plus nous appeler
mais se nommer de chair
pas de fermeture
je ne te l'ai jamais dit comme cela
viens j'ai des choses à te dire
matérialiser le mot amour en baiser
sur la table des lèvres
encrier de ta bouche
qu'est qui ne tremble pas ?
peur. de faire mal , d'échouer, de ne pas respecter
peur pour cacher en montrant flou
ce que nous allons en retenir est plus important que comment nous l'avons fait
tremble par responsabilité
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