tisseur de poèmes

Cvers comme un sacrifice personnel

Pour te consacrer 

Ta photo mais mon CV

Mon mahleheure a sonnet 

Touche noire d'une dernière heure 

Touche blanche d'un mari enrobé 

Dans le oui d'une église qui nous rassemble

Sein-phonie d'un enfant avenir

Homère d'une odyssée ,je navigue dans tes eaux

Au père à compagnon

Les motsarts que j'ai chantés de par la baie-thoven

Ecarter les lames de vers pour in-storer un rai publique

Du fond caché de notre amour 

Pour un jour

Une latte orientable qui dirige ton voyageur égaré 

Orienter une droite d'une flèche de Cupidon

Pour que des petits amours me rappellent toujours

A la vigie-lance 

Sentinelle sur la cote d'amour 

D'un amour d'enfants

Le Bach qui passe un bras de mère

Jusqu'au cou pour une étreinte

Valoir le coup ,là peine

Exister enfin , tout commence 

Sans attendre de mourir pour prouver

Que l'on était vivant 

M-amant devin mère

Inaugure

Le musicien d'un Vermeer

Et ses accords chromatiques.