merllade
Dans sa chaire
J'écoute sans dire rien Sa chair qui retient sa mémoire de peau Monte le silence Elle attend l'arrangement ciselé Comme la corde sur mesure d'un instrument de musique Avec elle , il faut voir une fois de plus avec sentiment Au premier coup d'oeil , pris dans le vertige de L'accumulation et de la tentation , Par son vêtement qui n'est rempli que de ce qu'elle est On y va toujours trop fort une première fois En la trouvant craquante , elle en prend un coup Avoir les yeux couleur mer ,invaincus La vie est sur la scène de la feuille blanche Une écriture d'expérience Une main pleine de fausses notes en dehors Toujours le bateau à la grande voile Qui souffle le large Toujours le bateau à rames Chaque vers qui gagne le large Toujours l'écoute de grande voile Qui se dévoilera à l'approche du port Et puis les vers qui descendent à quai Et puis une nouvelle tournée La grande scène aux planches de bois Dont sont faits les bateaux |
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