Dans sa boîte de nuit .Rien à voir avec une maison de disques dans laquelle on connaît la chanson .
Est -ce que la photo est bonne ?Dans cette ambiance nuit , sans l'obsession de la lumière uniquement la construction du cadre
Une gueule de nuit , sombre et câline ; l'ombre d'un visage.Avec elle , il a fini tard dans la nuit pour ainsi dire futur proche du
matin.Tenus comme à un fil , accrochés puis entourés .Déboutonnés puis raccommodés : fin d'une filature .
Ecrire sa profession de fois pour que le lecteur ait envie de passer à la page suivante.
Un coeur battant qui sort de ses gonds qui s'est réfugié au coeur d'elle , au milieu de quelque part. Il le sait car son coeur à elle
rythmé comme les cloches d'un village. A la semelle de ses souliers , la terre de chez lui dans les rainures pour ne laisser
aucune empreinte. Il entrait dans un autre monde , un notre temps ... un notre père .
Il surgit de l'oubli , l'entendre par là par ici , brise un destin , rompt un silence .il a le pouvoir de dire non , de refuser
l'ignorance .Il veut savoir .Même incertain, bâtir des hypothèses . Pas de mémoire disparue , il se souvient : plutôt dans la
retenue , il retient.Si ça continue : il le faut. Un arrangeur , rien ne finit mal . Il s'impose. Des pensées empaillées. Rien ne dort
dans ses cartons , ça déménage .
Il s'écoute écrire .Un contenu du premier ou du second degré toujours à résoudre.
Dans son antichambre studio , auteur -compositeur-interprète .Musique de chambre .Une pie métaphore pour piano.
Etudes du soir pour piano . Il hisse le genre noir à hauteur d'une blanche : celle où se tient sa littérature.