pause
Je me suis arrêté sur un monde six jeune
Le septième , c'était toi
J'avais tout le monde ado
Parce que ta beauté était si jeune
Qu'elle ne pouvait pas rayonner ton âge vrai
Nous sommes des enfants gâtés ,pourris
Mais maintenant que je suis d'âge mûr
Le pourri serait plutôt la mort à venir
Tu serais plutôt une gentilhommière
La visiteuse du man noir qui vient passer un week end de vie de château
Pour apporter ses lumières
Ton visage café crème et tes cheveux ramenés en croissants le long d-estempes
Humides de nos étreintes pour laisser au matin ton ouvrage en taille-douce
Tes yeux en amandes qui évoquent le vert velours de la campagne
Pendant l'amour ,tes cheveux effilaient de ton corps des fumées
Qui embrumaient notre petit château d'un nuage de lait
Le bout de ton nez , tes lèvres et ton menton saillaient comme le balcon
Sur lequel nous prenions nos repas
Le tumulus d'un âge qui enterre lavis de jeune fille sous ses larmes de bonheur
Le soleil a posé ses banderilles de jour
Les cornes du croissant constellent la nuit torride
Tes cils dessinés au fusain et tes pupilles crayons à billes qui dessinent une figure
Ton portrait accroché dans notre appartement privé
Mon buste dans l'entrée
Les bras m'en sont toujours tombés d'admiration
Mes yeux alors se portent sur le col en v de ta robe et ton cou
Pour te couver du regard
Tu redonnes du lustre a un laissé-pour-compte
Dans ton brun de toilette ,tu fais la belle dans ce beau monde .
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