poème asiatique
Sa robe qui tombe comme un rideau
Sa nudité dans les coulisses
Je détourne le regard
Les sens de l'image
Face à un arbre la nuit
la lune se pose sur une de ses branches
Ou comme entre baguettes de branches
Les contes de la lune
Et l'éventail des paupières d'une jeune femme
Le poète se déplume d'une écriture au rythme d'un sablier métronome
Je me suis laissé emporter sous son bras
Mais marche dans une flaque qui s'éclate de verre
Un PresQue
Q d'un reflet de p
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