poésie
Pendulaire , tu te donnes plus de temps
Pour ne voir que les belles choses
Tu ne veux pas trop calculer tout cela Periferry sur le balancier d'une marée
Le carillon de la lune sonne Jacques quartier
Le décalage horaire est comme ton grand et quart
Sa grande aiguille s'arrête à la demie
Va jusqu'au fond de ton lit Nos chevroeils , nos ventres blancs l'un sur l'autre
L'amour fauve d'un dos Sur le tard ,moins vingt , moins le quart , moins dix , moins cinq Tout cela sous l'air tendre du soir A l'heure pile , ils sont remontés à la surface
Ils n'ont pas pour autant chiffonné le passé
Mais bien au contraire tout prévu pour le repasser
Tout comme dans les livres qu'il convient de se promener Même froissés de lectures .
J'en reviens et je repars
Aller ailleurs et en revenir
Par là et revenir par ici
De ce côté ci puis de ce côté là
Là bas
Plus loin
Dépasser l'horizon
A perte de vue
N'être pas encore venu et vouloir repartir
Venir pour partir
Jusqu'où ...j'ai pied , je peux voir
Le tour de la terre par quel moyen
Du nord au sud , d'est en ouest
Du plus pauvre au plus riche
Traverser que les mers ,
Seul , à deux , à plusieurs
S'il n'y avait que l'au-delà dont on ne revenait jamais
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