quand la femme parut
Où sont les temps ?
Pépites de rayon dans la rivière
Tombées à l'eau car on n'arrive jamais à les attraper
A l'écoute du traversier , ce joueur de flûte
Ses yeux regardent la plume qui chatouille les courbures du tempsEt qui s'élève toujours et encore comme les oiseaux pour leur vol
Se laisse aller à sa nature
Plume qui n'a jamais soif
Il faut qu'elle soit prise en main pour écrire
Ce n'est que retenue qu'elle épanche ses qualités
Mais quand le poète fait son office ,elle se laisse connaître
Et puis cette femme sous observation
Un tourniquai d'un hublot , d'une fenêtre pour entrer chacun dans sa Destination
A bonne distance , idéale
Plus près que sublimer
Son oeil sur une robe in vitro qui fait naître dans son esprit
Etre comme sensible simplement quand il pense ou imagine
Convertie en présence virtuelle
Etre quelque soit sa forme ou que par sa forme
Quand elle dépasse l'informe dans une écriture
Juste avant elle sait qu'elle va avancer dans le silence
Que quelque chose va se passer
Sensuelle dans l'amour
Chacun dans son creux
Liquide pour l'un ,de plaisir pour l'autre
Montés à l'étage ou laitage baratté des mythes asiatiques
Proche de veille quand la Nature ne pouvait répondre à tous les voeux
Des hommes
Alors tous les souhaits non exaucés s'unirent pour créer octroyant une nature
De rêve répondant à leurs voeux .
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