tisseur de poèmes

tisseur de poèmes

quand la femme parut

Où sont les temps ?
Pépites de rayon dans la rivière 
Tombées à l'eau car on n'arrive jamais à les attraper
A l'écoute du traversier , ce joueur de flûte 
Ses yeux regardent la plume qui chatouille les courbures du tempsEt qui s'élève toujours et encore comme les oiseaux pour leur vol
Se laisse aller à sa nature
Plume qui n'a jamais soif 
Il faut qu'elle soit prise en main pour écrire 
Ce n'est que retenue qu'elle épanche ses qualités
Mais quand le poète fait son office ,elle se laisse connaître
Et puis cette femme sous observation
Un tourniquai d'un hublot , d'une fenêtre pour entrer chacun dans sa Destination
A bonne distance , idéale 
Plus près que sublimer
Son oeil sur une robe in vitro qui fait naître dans son esprit
Etre comme sensible simplement quand il pense ou imagine
Convertie en présence virtuelle 
Etre quelque soit sa forme ou que par sa forme
Quand elle dépasse l'informe dans une écriture
Juste avant elle sait qu'elle va avancer dans le silence 
Que quelque chose va se passer 
Sensuelle dans l'amour
Chacun dans son creux 
Liquide pour l'un ,de plaisir pour l'autre 
Montés à l'étage ou laitage baratté des mythes asiatiques
Proche de veille quand la Nature ne pouvait répondre à tous les voeux 
Des hommes
Alors tous les souhaits non exaucés s'unirent pour créer octroyant une nature
De rêve répondant à leurs voeux .



24/06/2020
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