Retardataire
Dire à la nuit
Tu rentres tard
Ce moment attendu pour la confidence
Où vas tu ?
Je ne sais pas
N'aime pas quand tout se prépare pour accueillir
Gueule de bois d'un jour
Ivresse de l'imaginaire , des paris
Danser avec le rythme pour se rappeler l'air
Musiques sans croches ,pas de croches pieds poétiques
Le crayon de tes yeux
Mes poils de pinceau comme la chevelure longue d'un japonais
Au sabre de bois
Dans la plaine du ciel les moutons de nuage
Puis sceller par les nuages
Je tourne la tête vers la mer , vers la terre
Ne quitter ni l'une , ni l'autre
Vague qui dépose reprenne
Etoiles disséminées n'obéissent plus à une seule lumière
Dans ma partition mentale
Les voix se superposent ,se mêlent , se suivent ,s'effacent
Toute velléité de rébellion
S'éloigne de l'Univers
Pour laisser l'illusion
arranger à sa sauce
Ne plus toucher le bas
Débous/sol
Faire ce qui n'est plus
Le centre de gravité
Faire ce qui n'est pas
Centre d'attraction ,son grave
qui ne répond plus de l'imaginaire
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