Robinson un Vendredi 13 écrit un poème
Enveloppée de ténèbres dans sa robe dé-fendue
Produits phares de ses petits bateaux
Fendre la bise mordante ,instrument à vent d'hiver
Voler un baiser d'oiseau
L'emboucher ,aboucher les bons tuyaux
Un conduit, la place du mort
Planter un baiser puis en cueillir le fruit de l'amour
Une corbeille de mariage
Une corbeille à papier froissé des si nombreux brouillons ,des ratures
Rencontre en ligne pas toujours droite ,des incartades
Sur toute la ligne , en faire tout un roman
Un tourne disque qui mange le morceau
Un style de vie qui devient une facture
De mes recherches de pointe ,elle est sortie de ma mémoire
Vous m'en-direz-des nouvelles
Ultra -pointue ,une fuite éperdue ,coureur invétéré
Plus amoureux ,tu meurs
D'une traite, toute la nuit ,je suis mort
D'hommages collatéraux
Les bas-côtés , les bons côtés
Recevoir des cartons puis dormir dans les cartons
Taper le carton avec la carte du ciel
Une fusée éclairante qui vole en éclats
Au milieu d'étoiles si nombreuses déjà qu'elles en sont indifférentes
Trop lourd à porter un problème se pose
Etre space, voyager en monospace
Après les astronautes ,puis les cosmonautes, les télénautes
S'enfile sans jamais décrocher : Robinson ya le téléphone qui son
Des réponses , il en faut , mais quand même
Monsieur est aux éditions du seuil ,une clef de sol à son cou
Madame a le petit prix Fémina d'un jour de soldes
Mais ni l'un, ni l'autre ne donne le là
Tout problème a une solution qui se dissout
Et sans le sou ,ya un blème .
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