tisseur de poèmes

On voit tout sans rien voir vraiment

Il faut être un découvreur  pour pouvoir  t'apprécier  dans ta totalité 

Comme surprendre la vie qui continue quand tout est gelé d'un regard admiratif

Suivre ta saharienne  pour ne pas te perdre de vue  dans les sables 

Savoir te reconstruire  quand je n'ai que la notice en quitte complet 

Tu vis ta pensée et pense ta vie

Ton corps est en contact avec la nature

Je prétend comment la lire

Mais j'ai perdu le sens du monde

Ton visage , ton sexe , ton âge  font écran 

Quand tu es mordue de littérature 

Je deviens v-empire des sens 

Ma sensibilité l'emporte sur le préjugé

Tu es un retour à la matière

Le goût long en bouche ,ta tenue en bouche 

J'aime les nuits fraîches qui préservent tes arômes

Ma science infuse pour tremper mes lèvres de ta saveur

Tu sais comment m'atteindre

Mais moi  sur la ligne d'horizon  , j'attend  que  le quai d'or-say

Les histoires dorées de ton soleil du levant au couchant

Ecouter    ton écriture  ensoleillée sur le gazon ou  sur le sol

La bande chaleureuse  f aime (f comme femme )