sur une planète rouge , le poète
Mots débridés
Tes yeux auraient -ils perdus la vue de l'Asie
Regardent-ils à l'occidental en oubliant l'oriental
Ou englobent-ils ce continent dans un espace plus grand
L'oriant je l'ai gardé dans mon sourire
Des lèvres bridées
Un baiser d'ouverture en forme de O
Rond comme la terre
Un baiser sur les lèvres
Comme des mains jointes
Faire comme
Un baiser d'amour voir plus grand , inclure
La première main la sienne
La seconde main la tienne
La dernière main : l'amour
La vie et le temps
Le temps passé avec quelqu'un
Sa vie à soi
N'ont pas le même âge
Nous vivons le temps ensemble
Pas la vie
Qui se retrouve seule après le départ
Le deuil c'est toujours garder du temps
La mort c'est reprendre possession de soi intemporel
quand Il reviendra, éternité
tu es le passage sur lequel marche mes pas de poésie
la frontière c'est le bout de l'horizontal dernière ligne
celle qui me fait changer d'état ,passeport ,t'avoir dans la peau
Nuit d'été Passé dans le côté sombre à la lumière d'un souvenir Avoir été
ne plus être Moi la vieille qui la veille était encore un lendemain possible
Laissepoir sur une méridienne négligemment balancée comme un fichu
Entre empire et restaure ' bris coller ' suffirait -il à la remettre en état
Comme une Frankestein ?Tu as vécu !J'ai beau crier à faire peur
Mais le cri c'est le dernier son d'une voix comme le dernier souffle
Dans le Néant elle chute ,
Mais c'est comme si je partais en pleine guerre sans connaître l'issue
La grande traversée du désert ,
un sablier que l'on retournerait chaque jour
Jusqu'au jour où le sablier se fait temps/lier
Un pas /sable dans le dés/erre
Un grain de sable qui va rayer , enrayerMettre hors d'usage
Sur le pare brise un petit tas de sable rouge
Des grains de folie
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