terre lointaine
Dans le flou textuel pour exprimer la vitesse
Un espoir pour le lendemain
Déboussole les fuseaux horaires en traversant les mondes
Etre à la même heure d'un accord pour faire enfin quelque chose
Incommodé par la nouvelle , ouvrir les tiroirs d'une commode
Pour y trouver la solution
Mais ce ne sont que des appels de phare
Qui laissent un cimetière marin
Pense être meilleur poète avant d'écrire
Quand tout n'est que pensées vertueuses
Sur le quai des yeux son dernier coup de plume
N'a été qu'un coup de vent
Les heures sont orphelines
Il a grandi plu vite que les siècles de guerre
Noyés dans un fond sonore de divergences
Jamais dépassé le stade de la représentation
Dans le silence du jardin intérieur
Ne pas réveiller ce qui gronde au loin
Par le judas trouble fête ,je vois que l'on meurt
Là bas ,on vole au-dessus ,on lâche des bombes
Pour ne pas regarder en face
Dérouler un tapis rouge de ruines et de sangs
Des enfants soldats que l'on veut déjà adulte
L'enfance n'est pas un état en soi
Un pays où la paix est utopique
Ici on ne connait que ce que l'on nous montre et dit
Le poète n'a que son encre soutane derrière les lignes
D'un confessionnal
Dans le désordre n'y a t-il donc pas une autre voix
Comme celle qui s'est fait entendre derrière un buisson ?
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