Tous en scène
Ces nuages, des vagues qui tombent du ciel dans l'agitation d'une tempête
Y verrait-on un Othello débarquer ou n'est ce que que le titre d'une autre Oeuvre de Shakespeare ? Tactile ,tu avances à l'aveugle car tu es dé...voyé Tu reconnais le sol par la vibration d'un sourire Son besoin de contact , sa marche aveugle dans un lieu quotidien Mais qu'il ne connaissait pas Lui qu'on disait qu'il parlait abstrait , n'avait pas la parole commune des autres Mais était -il pour autant dénué d'un coeur , d'une humanité ? Pour paraphraser James Baldwin Vous me pensez de telle façon Est -ce que cela veut dire qu'il vous faut cette personne étrange ? Dans votre monde uniforme vous vous reconnaissez parce qu'une étrangeté est parmi vous Le plus voyant c'est le plus coûteux en émotions douloureuses Vous semblables dans une courbe telle un serpent qui ondule faux -fuyant Je me souviens toujours de cette demi phrase C'était ...comme une fatalité La guerre , la famine et toute cette inhumanité conséquente Et les rescapés des camps qui ont retrouvé la liberté totale Alors que leur tête était remplie d'horribles dictatures de survie Nous n'avons plus la même notion de ce qui est libre Regarder la lenteur des aiguilles face aux changements rapides Et quand tu as refusé tel jour de m'aider Jésus a dit c'était moi et tu ne m'as pas reconnu Dans une action , un désaccord chacun se tourne vers ce qui lui ressemble Je me souviens de ton visage quand tu cherchais un regard approbateur Personne n'est encore unanime quand cela va trop loin Je reste ce bois qui craque , ce drapeau qui flotte dans cette tempête En mes émotions ,je portais la vie De ceux qui étaient tombés J'avançais dans cette reconquête de paix Dans ce qui fut le théâtre de guerre Simple acteur qui avait élevé ma voix jusqu'au sommet des montagnes Et la pensant comme une grande déesse Il allait de soi que tout ce qui s'élève doit redescendre Et d'une loi divine la tempête tomberait Promettre contient en son sein omettre Promis sans rien oublié J'étais plein d'espoirs en cette civilisation maya Mais elle avait défailli La fin du cycle ne s'était pas produit Pas de prophète ,il ne fallait rien attendre Mais dans son monde à lui Partout où il marchait , il retrouvait le pas de celle ou de celui Il laissa leurs feuilles mortes s'envoler Ce vent de liberté pour lesquels ils s'étaient battus Quand son pied reposa sur la Terre C'est l'espoir qui résonnait dans son corps maintenant. |
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