Un long week -end showcolat
Qui de la poule ou de l'oeuf ?
Les d'oeufs
La cloche sonne ,à table
Il se tape la cloche
Sous un chapeau cloche , la cloche repue d'un repas bien arrosé
Les papiers et les chants brûlés ,l'énergie pour écrire et pour chanter se consume comme une bougie
Pour exprimer ce qui vient de se passer ,jamais assez tellement l'événement est unique
Impossible de rester étanche , les pleurs ont eu raison d'eux
Le poète ne s'est pas cassé pour écrire en ce long week -end
Il rencontre ses lecteurs dans le noir de l'écriture
Ca casse comme du vers : un morceau de phrase , un carré de mot , une plaquette dans l'éprouvette
Essaye un peu pour goûter
Casser la croûte pour y voir la blessure
Comme s'il fallait gratter le désir enfoui
Jusqu'au coule de source d'un volcan
Thâter le précoce , faire jaillir les idées
Lettres impaires d'un coeur brisé mais jamais fusion
Dans sa ville durable les auto-mots -biles circulent à double sens , à sens unique
Des mots labilles qui ont failli tomber sous le sens
Mais même une ville tombe
Le poète prend les livres à témoin
Il y aura forcément les mots qu'il faut
Pour une conversation au coin du feu rouge
Que dire de tous les mots en dépit de ta présence
Les deux pages se replient sur un milieu qui n'est pas moi
Un triptyque fantomatique
Un casse toi qui se déplie en deux pour une lecture diptyque
Demain j'arrête, pas de suite
Demain, j'arrête ,pas tout de suite
Le show must go on
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