tisseur de poèmes

tisseur de poèmes

un toit de soie

Il était autrefois une monghol-fière ,un ballon décès d'une autre époque.De ses sils dessinés sans lever son pinceau,les premiers hommes marquèrent le sol de ses escarpeints.Sur la route de l'assoit ,l'itinerrant s'abrita sous le toit du monde.Il ne bouda point celle qui lui offrit ce toit.Les drapeaux à prières n'ont voulu que rapporter cette histoire décente de lit à voix basse pour ne pas réveiller les mauvais esprits:lotus et bouche cousue, alors.Comment-puis-je t'accorder un moment pour que ta musique sonne à nouveau qu'elle est bell sous le batant de son corps.Son brahmapoutre apparente sous un fond de teint b-attique,sous son maquillage du soir elle tire la couverture de son comble ,sous un maquillage du jour ses ombres ap-lattis ,son appel de fard pour un navire en dé-tresse qui veut regagner ses pé-nattes ,sa poudre de diamand é-grisée comme un vent de p-houppe,elle allume sa couette qui vacille le fond de teint cireux d'une impératrice passée dans son pavillon en berne et son rouge joue du bout des lèvres une révolution qui plaie une li-ésion à venir.Quand il la dé-robe , elle laisse voir ses ap-panties :remise de boîte à ouvrage pour son bien bâti , oeuvre dard et son ove fleuronné.Prêt de l'eau comme un emprunt ,elle esquisse quelques pas de sleau sur un air de radio love comme une porteuse d'ondes sur un ricochet ondine.Au son d'une bise comme instrument à vent , au son d'un bisou enlacé comme une corne-muse,une âme verte appelée par un God sève la reine.Pas une love partie mais présente dans ses meubles d'instants-années ,lumière d'un bleu sans flash nuages.Boire à la paille d'un rayon de soleil le nectar d'un coeur de fleur j-aulnes du roi de ces lieux.



11/10/2010
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