tisseur de poèmes

Nuit pomponnée de lumières
N'est ce pas un jour spécial ?
Etoiles sont les fumées des maisons du monde 
Celles qui ont "cheminée" au-delà du ciel 
Sur la branche de Noel des arbres 
L'oiseau de Noel 
Au loin les montagnes comme des ailes coupées disait Adonis
Profitent de la neige tombée 
Dehors la foule s'agite comme un éventail de paravent d'hiver
Quand elle se rapproche , elle devient bavarde 
Intarissable comme la source
Dans la mâture ,les mousses de vagues
Et moi, l'écumeur accroupi filtrant l'eau de mes deux mains jointes 
Sur le sable ,j'entends le grin/galet qui crisse ses pieds nus
Et les roulements des galets d'un lit de rivière
Etre dans un espace en ruines que l'homme a déserté
Au-dessus de moi le ciel aux bannières déployées 
Une averse s'abat ,une pluie tombe: renversée 
Le coup d'une injure s'abat dans ma bouche ,M il pleut!
Des giclées de gouttes font des trous de mouille
Comme pour échapper à un oiseau de proie 
Courir vers un abri 
La mer se déchaîne ,libère ses esclaves de vagues
Comme deux amoureux sous la pluie 
Nous nous lavons les yeux entre chaque regard
Ses contours de sons ,une note
Les contours de sa peau , une lettre
Les contours de sa pensée , une phrase 
Le poète qui en a toujours sous le pied 
De la montagne Alexandrine 
Invétérant , invétéré d'une Histoire
Dans sa forêt à elle , Il est le voleur de fruit de sa virginité 
Se coulent douces dans les nombreuses "propriétés" 
De leurs personnalités .